jeudi 26 mai 2016

3 questions que vous vous êtes sûrement déjà posées

Vous ne vous en rendez sûrement pas compte mais, en une journée, il est possible que vous posiez une bonne centaine de questions, voire plus, que ce soit des questions que vous posez à voix haute aux personnes qui vous entourent ou des questions que vous vous posez à vous même et qui ne sorte pas de vos bouches. La raison pour laquelle nous posons des questions est simple: nous posons des questions pour acquérir du savoir et de nouvelles connaissances. Les questions que vous posez au personnes de votre entourage ou que vous vous posez dépendent très souvent de vos centres d'intérêts, du contexte et plusieurs autres facteurs déterminants mais il existe des questions qui ont déjà rodé les pensées d'une grande majorité des personnes sur terre. Certes, il serait très intéressant de répondre à chacune d'elles mais, pour l'instant, contentons nous de répondre à....
3 questions que vous vous êtes sûrement déjà posées au cours de votre vie

I-Pourquoi les bébés crient-ils si fréquemment ?
Source: compassionatesleepsolutions.com
Il est très probable que vous sachiez comment ça peut être dur de supporter les cris et les pleurs de son petit frère ou soeur ou même d'une petit cousin de 2 ans. Maintenant cherchons à savoir ce qui pousse les bébés à réagir de telle façon face à des situations désagréables. La raison pour laquelle les bébés pleurent si souvent est très simple: c'est à cause du fait qu'ils ne savent pas parler. Le seul moyen qu'ils ont de communiquer mécontentement, faim, peur, colère oralement est en criant. C'est le seul moyen qu'ils ont pour se faire comprendre et vu le nombre d'émotions négatives qu'il est possible de ressentir, cela donne à un bébé de nombreuses raisons de crier. Donc, tout ce qui est colère, nausée, peur, faim, sentiment de malaise, sommeil, mécontentement et plus encore sera exprimé de la même façon, en criant.

II-Pourquoi pleure-t-on lorsque l'on épluche des oignons ?
Comme vous le savez, le simple fait d'éplucher un oignon peut mettre des larmes aux de la personne la plus insensible au monde mais pourquoi cela ? Lorsque l'on coupe un oignon, nous libérons dans l'air deux substances chimiques distinctes. Lorsque celles-ci rentrent en contact avec l'air, elles vont s'unir et former un gaz dit lacrymogène, c'est-à-dire qui fait pleurer. Lorsque ce gaz lacrymogène rencontre les fluides lubrifiants de nos yeux ses éléments s'y dissolvent et deviennent une substance irritante. Le cerveau reconnaît cette substance irritante comme un corps étranger et, pour défendre nos yeux, il va déclencher une production lacrymale pour évacuer la substance. Conseil: éplucher ses oignons dans une bassine d'eau, ceci empêche les deux substances chimiques de départ de se répandre dans l'air et de se transformer par la suite en gaz lacrymogène.

Source: menshealth.com
 III-Pourquoi ressent-on parfois le mal de transport ?
Source:faketraveling.wordpress.com
Nous avons tous déjà connu au moins une fois cette sensation de malaise, les nausées et parfois même des vomissements dus au mal de transport mais savons nous pourquoi c'est si récurrent et qu'est-ce qui cause cela ? C'est tout simplement une question de signaux corporaux brouillés. En transport et en position assise, nos muscles sont immobiles et le signalent au cerveau. Le cerveau reçoit également des signaux visuels. Ces signaux indiquent au cerveau que le corps est en mouvement parce que, lorsque nous roulons en route, nous voyons défiler le paysage.L'oreille interne envoie aussi des signaux au  cerveau comme notre corps est en mouvement. Notre cerveau reçoit donc des signaux contradictoires et, comme réaction à cette confusion au niveau des différents signaux qu'il reçoit, il va déclencher des nausées et des vomissements.

AVIS PERSONNEL:
J'ai bien aimé cet article, il répond à des questions banales que beaucoup de gens se posent ou se sont déjà posées au moins une fois dans leur vie, cela le rend accessible et cela fait qu'il puisse plaire à de nombreuses personnes.

D'après Tout Comprendre, nº7
paru en Février 2013
pages 26 à 31
Bryan Nanga, 3ème B



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