samedi 20 février 2016

Les araignées

Les araignées sont de petites bêtes qui font peur aux grosses. Et c'est tout à fait justifié ! En effet, elles ont plus d'un tour dans leur sac…

De nombreuses araignées sont adeptes du ballooning. Ce phénomène consiste à ce que les araignées se mettent en hauteur, qu'elles pointent l’abdomen vers le ciel et qu'elles libèrent des fils de soie. Ceux-ci vont s'allonger avec le vent et porter les arachnides. Elles peuvent parcourir des centaines de kilomètres comme ça. Mais elles peuvent aussi se déplacer sans l'once d'une brise ! En sortant par une embouchure, les fils de soie se frottent contre celle-ci et se charge négativement. Le sol est lui aussi chargé négativement alors que la haute atmosphère est chargée positivement. Les araignées vont donc vers le haut, et quand un obstacle se présente elles vont à l'horizontal.

 

La femelle du Stegodyphus lineatus est la mère la plus dévouée sur cette planète. En effet, depuis l'accouplement elle produit des enzymes digestives, même quand les petits sont nés. Dès lors, elle régurgite un produit venant de son intestin et les enzymes décomposent son système digestif, puis son corps. Tout ce merveilleux mélange est régurgité. Quand l'araignée est totalement liquéfiée, ses petits la mangent.

Les araignées sont de redoutables chasseresses, mais aussi de merveilleuses tisseuses. Elles peuvent fabriquer six types de soie différentes, soit six types d'armes mortelles. Quelques espèces utilisent le bola, une sorte de lasso, pour capturer leurs proies. Le fil est recouvert d'une substance collante au bout. La prédatrice tient cette arme entre ces pattes la têtes en bas, et dès qu'une proie s'approche, elle fait tourner le bola et scotche le malheureux. Mais certaines araignées préfèrent le filet. Elles le maintiennent vers le bas et dès qu'une proie s'approche elles le lancent. Il est alors dix fois plus grands qu'à la base !

J'ai bien aimé cet article car il me prouve que mon dégoût pour les araignées est totalement fondé.

Sources : Science et Vie Junior, n°315, décembre 2015, p48 à 51

Héloïse Liégeard, 3°A

mardi 16 février 2016

Moins de pauvres sur la planète

La pauvreté extrême ne touche plu que 10% de la population mondiale. Cependant en Afrique la situation est toujours inquiétante.

Qui est pauvre:
Les personnes ayant moins de 1,90 dollars par jour pour vivre. Le seuil de pauvreté extrême calculé par la banque mondiale.
En Occident, les individus concernés sont les sans domicile fixe, les Roms, dans des campements en Europe.

Comment a t-on relevé ce défit ?
Surtout grace à la Chine. En 25 ans, 500 millions de gens sont sortis de la pauvreté en changeant leur politique économique.
Depuis 20 ans, la chine a connu une forte croissance économique: ses richesses ont augmenté de 10%  par an et l'extrême pauvreté qui touché 60%  des chinois en 1990, n'en touche que 6,4 % en 2015.
En Amérique latine la pauvreté qui touche les habitants a été divisée par deux grace à une politique d'aides sociales.
Au Brésil, depuis 2000, les familles les plus démunis reçoivent jusqu'à 60 dollars mensuels à condition que les enfants aillent à l'école et se rendent à des visites médicales gratuites mais obligatoires.
En effet, si un enfant est éduqué et en bonne santé. Il aura plus de chance d'avoir un niveau de vie plus élevé que ses parents.

Ou sont les pauvres qu'il reste à sauvé ?
L'Afrique subsaharienne est la seule qui a vu son nombre son nombre de pauvres augmenter.  Ceci est due en grande partie au fait que les femmes d'Afrique font toujours beaucoup d'enfants.
De plus leur dirigeants détournent l'argent de l'état à leurs profits ou pour acheté des armes plutôt pour construire des centre de soins ou développer l'agriculture ou l'industrie.
L'autre pole mondiale de pauvreté est l'Inde.

La pauvreté pourra t-elle s'arrêter ?
Cela sera possible si les richesses ne sont pas accaparées par une minorité, mais qu'elles soient distribués pour aidés les plus démunis à s'en sortir. Il faut crée des emplois, mieux payer les travailleurs, mais aussi distribuer des aides pour payer leur logements et leurs soins médicaux.
Il faut aussi apporter un soutien technique et scientifique pour construire des routes ou élaborer des vaccins et médicaments. Il faut aussi que: les entreprises étrangères qui s'installent dans les ps pauvres embauchent plus de locaux et les payent mieux. Et  nous, on doit acheter des biens étiquetés "commerce equitable", vendus dans le droit et le respect des droits des producteurs locaux.


magazine n°317
Février 2016
pages 20 à 23
Science et vie junior                            
                                                                                                                                                    Léane 
                                                            Christophe
3°B

dimanche 14 février 2016

Les fantômes sur les photos

Les fantômes envahissent internet ! Nombreux sont les récits à tenter de prouver leur existence mais les clichés eux semblent nous apporter une réelle preuve. Mais gare à la supercherie !

 

Une photographie qui circuler sur le net depuis deux ans et qui est devenue virale représente un couloir plutôt inquiétant avec un homme poussant un fauteuil roulant. Jusqu'à là, rien d'anormal, à part le fait que les deux figures soient à moitié transparentes ! Preuve que les fantômes existent ? Absolument pas d'après Kenny Biddle, passionné de paranormal et de photographie. D'après lui, ce cliché provient d'une application. En effet, elles sont nombreuses à permettent aux gens d'incruster des figures inquiétantes.

Les fantômes sont nombreux à poser devant l'appareil photo, il suffit de fouiller sur internet pour s'en rendre compte. Et ce, depuis 1850 ! Pourtant, à cette époque, on ne disposait pas de logiciels. Les images étaient argentiques : on induisait une plaque de verre de sels d'argent sensibles à la lumière puis on la plaçait derrière l'objectif d'un appareil photo. La lumière pénétrant dans l'objectif fait réagir le produit qui en noircissant fixait le décor. Mais si le photographe lavait mal ses plaques, une partie du cliché précédent peut se superposer au nouveau ! De ce fait, une silhouette apparaissait légèrement transparente : le fantôme idéal.

Ce léger défaut a été exploité par de nombreuses personnes qui faisaient payer cher le cliché à des personnes crédules désireuses de revoir un être aimé. William H. Mumler a d'ailleurs gagné beaucoup d'argent et de succès dans cette pratique. L'auteur de Sherlock Holmes s'est même fait berner par des jeunes filles prétendant avoir posé avec des fées ! C'est fées étaient faites en carton.

Mais pourquoi autant de supercherie ? Les internautes aiment les canulars, mais certaines agences de tourisme veulent aussi attirer des clients dans leurs visites guidées…

J'ai bien aimé cet article car il prouve que 99 % des photographies fantomatiques sont en vérité des canulars, ce que je trouve vrai.

Sources : Science et Vie Junior, avril 2015, n°307, p78 à 81

Héloïse Liégeard, 3°A